La série Portraits de visionnaires s’intéresse aux personnes visionnaires qui travaillent chez Aeromag et qui, chaque jour, démontrent une volonté de faire bouger les choses. Parmi elles, on retrouve Maxime Daoust, le chef formateur pour nos stations de Montréal (YUL) et Mirabel (YMX).
Maxime en est à sa sixième saison chez Aeromag et sa troisième en tant que responsable de la formation. Comme la plupart des gens chez nous, il a fait son entrée dans le poste de technicien en dégivrage. Il a rapidement été promu comme chef de baie. « Ça demandait un peu plus de responsabilités », explique Maxime. Cette expérience dans des postes clés lui servira plus tard en tant que responsable de la formation. « Tu arrives à voir tous les impacts des décisions que tu prends en ayant la perspective du technicien ».
De technicien à formateur
Dès sa deuxième saison, il a souhaité partager ses connaissances auprès des recrues et a commencé à donner de la formation pratique sur le terrain (ou plutôt sur le tarmac). « J’ai trippé durant cette partie de mon cheminement! ». Il faut dire que l’aviation et la formation sont deux sphères d’expertise qui font partie de la vie de Maxime depuis longtemps. Bien avant d’atterrir chez Aeromag, le jeune Maxime était dans les rangs des cadets de l’aviation à 12 ans. « Les bases de la formation, je les ai apprises avec les cadets de l’air ». Il a commencé à toucher à la formation dès l’âge de 15 ans et, rendu à l’âge adulte, il est devenu instructeur civil et a enseigné auprès des jeunes cadets de 12 à 18 ans.
Aujourd’hui, à 33 ans, Maxime est responsable de la formation aux stations de l’aéroport international Montréal-Trudeau (YUL) et de l’aérocité internationale de Mirabel (YMX). En plus de superviser la formation théorique et pratique, il se charge aussi des contrôles avec les compagnies aériennes pour s’assurer du respect des normes et des procédures. « Je vérifie que toute la paperasse est à jour! ». Une chose est certaine, travailler dans un aéroport est très stimulant pour Maxime.
« J’ai toujours trouvé que c’était un milieu impressionnant. Travailler autour des avions, avec les moteurs en marche, c’est incroyable ».
Un emploi gratifiant
Une carrière chez Aeromag est riche en apprentissages, incluant apprendre à aimer l’hiver. « Quand on voit arriver des avions contaminés solides, ce sont les journées où l’on a le plus de plaisir! Pour moi, les meilleures journées chez Aeromag, c’est quand il y a de la neige ». C’est lors de ces tempêtes hivernales que l’on réalise à quel point le dégivrage est essentiel au bon fonctionnement de l’industrie. « Sans nous, les avions ne pourraient probablement pas décoller ces journées-là. Ça nous motive de voir qu’on a un impact si grand sur les opérations aéroportuaires, surtout parce que les hivers québécois nous donnent de la job! [rires] ».
Pour Maxime, ce qu’il a de plus gratifiant dans son travail, c’est de voir l’évolution des nouvelles recrues qui ne connaissent rien du milieu de l’aviation en entrant dans sa classe. « Au bout de 32 heures de formation théorique, ces personnes qui n’avaient aucune connaissance en aéronautique sont maintenant prêtes à suivre la formation pratique et participer à une opération. Je trouve que c’est une belle réussite! ».
Des valeurs communes
De l’avis de Maxime, l’adaptation et la flexibilité sont essentielles au travail chez Aeromag. « Il faut que tu sois capable de réagir dans plusieurs types de situations pour donner un travail qui soit toujours de qualité ». Parmi les valeurs de l’entreprise, l’efficacité, la sécurité et la responsabilité sociale résonnent particulièrement avec le responsable de la formation. Maxime a d’ailleurs été l’un des premiers à conduire le Elephant® e-BETA, un camion de dégivrage électrique.
Maxime est aussi fier de voir à quel point l’entreprise québécoise a grandi depuis sa fondation en 1994, elle qui opère maintenant 16 stations au Canada, aux États-Unis et au Royaume-Uni. « Je voyage un peu pour le travail et c’est impressionnant de constater la notoriété d’Aeromag dans l’industrie aéronautique. Je suis content de pouvoir mettre la main à la pâte tous les jours pour générer des résultats ».
« Avec l’empreinte environnementale et la récupération du glycol, je pense que c’est l’une des grandes fiertés d’Aeromag ».
La passion de Maxime pour l’aviation et la formation est un match parfait, mais il n’est pas le seul visionnaire à influencer le parcours d’Aeromag! Rencontrez Mathieu Talbot, un ancien employé dont l’expérience de dégivrage a fait de lui un meilleur pilote.